Honda fête cette année le 40e anniversaire de la Civic, mais la vedette de la fête est incontestablement la quatrième génération du SUV CR-V. La Civic s’offre un nouveau bloc Diesel 1.6 i-DTEC de 120 ch plus adapté au marché européen que le 2.2 habituel.
De son côté, le coupé hybride CR-Z décrié pour son manque de caractère, profite d’un léger restylage pour empocher 16 ch supplémentaires.
Enfin, la quatrième génération de CR-V, pour la première fois disponible en 2 ou 4 roues motrices, est 100% fidèle au concept dévoilé cette année à Genève. Adoptant toujours une silhouette massive et quelque peu baroudeuse, le nouveau SUV affiche un visage plus dynamique qui se symbolise sur la face avant du modèle. Nouvelle calandre avec la présence de trois barres chromées, un pare-chocs typé baroudeur et un capot redessiné offrent un look plus jeune au CR-V. A l’arrière, Honda conserve les blocs optiques verticaux mais aussi bien sur les feux avant de jour ou à l’arrière, la firme nippone opte pour la présence de LED.
A bord, l’habitacle se veut à la fois simple et moderne avec les principales commandes regroupées dans deux zones différentes baptisées “Interface conducteur” et “Interface information”. Pour cette version européenne du CR-V, la firme japonaise a également fait des efforts sur les matériaux utilisés pour le dessus du tableau de bord ou encore les différents inserts. Parmi les équipements, nous noterons la présence d’un afficheur multi-information de 5 pouces qui gère les systèmes audio, téléphone et de navigation. La console centrale se dote elle de deux porte-gobelets et un compartiment de rangement alors que les sièges avant intègrent un dispositif d’atténuation du coup du lapin.
Si l’aérodynamisme du véhicule a été travaillé pour faire baisser la consommation et les émissions du CR-V, cette quatrième génération sera proposée avec le bloc essence 2.0 i-VTEC de 155 chevaux ou avec la motorisation Diesel 2.2 i-DTEC de 150 ch. Enfin, pour les fans du genre, la Civic WTCC 2013 était exposée en hauteur tandis que Monteiro et Tarquini répondaient aux questions des journalistes…