Il faudra attendre mardi prochain et l’ouverture du salon de Genève à la presse internationale pour découvrir cette nouvelle terreur des circuits (sans être le moins du monde homologuée pour une quelconque compétition) sous des éclairages davantage révélateurs.

Car les premiers clichés de la Vulcan dévoilés par Aston Martin ne sont guère avantageux. Pourtant, cette supercar est décrite par le constructeur britannique comme sa «création la plus intense et exaltante à ce jour». Il s’agit bel et bien d’un monstre développé en collaboration avec  Aston Martin Racing et strictement destiné à la piste et dont la production sera limitée à 24 exemplaires que nous imaginons d’ores et déjà vendus.

Tout ce que nous savons jusqu’à présent, c’est qu’il s’agit d’une monocoque en fibre de carbone animée par un 7.0 V12 atmosphérique développant plus de 800 ch accouplé à une boîte séquentielle X-Trac à six rapports. Aston Martin ne dévoile en revanche aucun chiffre complémentaire.

Taillée pour la piste et conforme aux différentes normes FIA, la Vulcan repose sur des gommes Michelin de 345/30 à l’arrière, jantes de 19″, et s’équipe de disques en carbone céramique mesurant 380mm de diamètre à l’avant et 360mm à l’arrière. Les amortisseurs réglables, les barres anti-roulis avant et arrière et le différentiel à glissement limité intégral font partie des solutions adoptées par cette Vulcan.

A l’instar de la Ferrari FXX K ou de la Mc Laren P1-GTR, la Vulcan, qui n’est cependant pas hybride, promet également un programme spécifique pour les propriétaires entre simulateur, prise en mains sur la piste et sessions sur circuits. Selon Aston Martin, cette Vulcan devrait laisser sa trace sur les futures sportives de la marque puisque ces dernières en reprendraient des éléments de style.