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Mercedes: Maybach is back

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C’est à la fin du siècle passé, en 1998 plus précisément, que Mercedes a choisi de faire renaître la marque Maybach après 60 années d’hibernation, pour mieux contrer Bentley et Rolls Royce. Malheureusement, c’était sans compter sur les différentes crises traversées depuis et l’an dernier, les Allemands coupaient discrètement l’oxygène.

Mais une idée plus subtile est alors née dans les cerveaux fertiles de la marque à l’étoile et c’est au Salon de Los Angeles que ce label nous revient mais à l’image d’AMG, il doit désormais accepter de cohabiter avec l’Etoile de Mercedes et désignera seulement des variantes de modèles existants. La Classe S est ainsi la première à en bénéficier et elle en profite pour gagner 20 centimètres supplémentaires.

Sa longueur atteint désormais 5,45 m là où ses rivales, Audi  A8 et BMW Série 7, restent sous la barre des 5,30 m. Même les Rolls Royce Ghost et Bentley Flying Spur ne sont pas aussi imposantes. Et dire qu’une Pullman, encore plus démesurée, est prévue prochainement…

Avec un empattement de 3,37 m, inutile de dire que cette Mercedes-Maybach soigne avant tout ses passagers arrière. Non content de pouvoir étirer leurs jambes à loisir, ils peuvent disposer de sièges massants, chauffés, ventilés, réglables dans presque tous les sens. Leur sécurité est assurée par des ceintures arrière gonflables, alors que l’insonorisation a fait l’objet de tous les soins.

Deux grands écrans sont là pour passer le temps lors des longs trajets. Ils ne sont toutefois pas tactiles, ce qui impose de recourir à une télécommande. Le chauffeur n’est pas forcément malheureux pour autant puisqu’il profite, au choix, de deux moteurs essence musclés: le 4.7 V8 biturbo 455 ch de la S500, associé à la nouvelle boîte automatique à neuf rapports 9G-Tronic, ou le 6.0 V12 de 530 ch encore fidèle à la transmission 7G-Tronic Plus.

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