Chez Opel, c’est la saison des liftings avec un Antara qui s’offre une nouvelle calandre et des optiques arrière inédites. Dans l’habitacle, on découvre une nouvelle console centrale, de nouveaux espaces de rangements, un éclairage amélioré, de nouveaux matériaux, une palette de coloris étendue et des compteurs au graphisme revu. Mais ce léger face-lift a surtout été l’occasion de corriger le comportement du SUV avec l’amélioration du châssis et des transmissions sans oublier le remodelage des groupes motopropulseurs.
En Diesel, on voit arriver un 2.2 CDTI en 163 ch et 184 ch. Ce qui représente 36 ch et 34 ch de plus que son prédécesseur. Ces deux motorisations sont proposées avec une boîte manuelle ou une automatique à six rapports. La version 163 ch est disponible soit en deux roues avant motrices soit en quatre roues motrices alors qu’avec 184 ch, c’est 4×4 d’office. En essence, le 2.4 développe désormais 170 ch (+30), en version deux ou quatre roues motrices avec boîte manuelle ou automatique six vitesses.
Du côté de l’Opel Corsa, la recette est fort semblable avec une nouvelle calandre qui présente une grille et des prises d’air en structure à maille tandis que les optiques avant ont été redessinées. Le catalogue propose de nouveaux coloris et six nouveaux dessins de jantes en alliage. La Corsa reste toujours disponible en trois ou cinq portes.
L’Opel Corsa ecoFlex de 95 ch se montre plus sobre grâce à l’intégration d’un Start&Stop. Ainsi, sa consommation mixte normalisée passe de 3,7 à 3,5 litres aux 100 km (pour la 3 portes). De quoi afficher des émissions de CO2 de 94 g/km, contre 98 g/km auparavant. Le moteur 1.3 CDTI de cette ecoFlex utilise un système de combustion informée avec capteurs de pression dans chaque bougie de préchauffage pour mesurer en continu la qualité de la combustion à l’intérieur du cylindre. Si vous êtes, comme nous, allergique au diesel, sachez que la version OPC de 192 ch reste au catalogue.
